Avant que la flamme s'éteigne.

Sans doute un coup d’épée dans l’eau puisque je n’utilise pas la voie directe.   Je ne crois pas pouvoir m’immiscer régulièrement dans  le  Blogue du Prof.   Ceci étant dit, nous venons de regarder, ce film, un amalgame parfait pour les réguliers du dit blogue :

Paul de Simon Pegg et Nick Frost qui rassemble l’intérêt marqué pour la science-fiction, les BD qui lui sont consacrées et l’athéisme, le tout sur un ton léger et divertissant.  

Voici donc, un extrait :

Commentaires

  1. Tu as aimé? Je ne l'ai pas encore vu. J'ai adoré Shaun of the dead, alors ceci m'intrigue beaucoup... mais en même temps, une petite alarme sonnait dans ma tête en disant que ça a vraiment l'air complètement con...

    En passant, tu peux t'immiscer dans le blogue du Prof aussi souvent que tu veux! Ce n'est certainement pas moi qui y verrai un inconvénient!

    Prof Solitaire

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  2. Super blog! Il faut que je regarde ce film :)

    Peut-être que tu deviens le membre de mon blog et puis moi du tien? Réponds sur mon blog: http://www.deriff.blogspot.com/

    A plus!

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  3. Bof, tu sais, c’est bien la preuve que je suis une vraie fille (image de quelqu’un qui se penche en se protégeant la tête tout en clignant des yeux en prévision des tomates qu’elle recevra de ses consœurs. Je suis habituée). Vous avez l’air tellement bien entre gars.

    J’ai découvert cet acteur dans le film Hot Fuzz. Chez nous, l’humour britannique a la cote et là on a été servi. En passant, Saving Grace de Nigel Cole, offre ce type d’humour tout en étant charmant. Un de nos préférés.

    Mais revenons à nos moutons. Bien entendu on a aimé Shaun of the dead. En ce qui a trait à Paul, y’a effectivement quelques blagues faciles, vulgaires et bêtes. Mais il ne faut pas bouder son plaisir malgré l’intrusion (mes soupçons) d’auteurs États-Uniens dans la patente. J’y ai reconnu quelques réguliers de SNL. À bien y penser, je les accuse là, mais Benny Hill n’exploitait pas un humour très subtile non plus.

    Je le recommande.

    Tiens! Un p'tit nouveau. Ton enthousiasme est, ma foi, impressionnant. M'a allé t'vouâir.

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  4. Oups! Je viens d'aller voir Deriff. Je devrai abandonner les "québéquismes" et écrire un meilleur français afin qu'il ne prenne pas de mauvais plis.

    Mon nouvel ami est Croate.

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  5. Wow, Loulou, bravo!! Tu as ouvert ton blogue en juillet et te voilà déjà à l'international! Ça promet!
    En passant, c'est pas vrai qu'on est tellement bien entre gars: j'aimerais ça moi qu'il y ait plus de filles qui commentent sur le blogue de Prof. On dirait que vous êtes gênées, que vous avez peur de déranger...

    Yves;-)

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  6. "Tu l'as dit bouffi!" dans le sens de "c'est vrai qu'on a peur de déranger"?
    Si oui: franchement!! C'est quand même pas un vestiaire d'équipe de hockey!

    Yves;-)

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  7. Je répondais plus à la dernière phrase.

    Je parlais à un Camerounais et lui demandais si, comme j’en ai eu l’impression, les femmes Camerounaise (je lui racontai ma rencontre avec une belle africaine vêtue de ces magnifiques vêtements colorés) devaient garder une certaine pudeur, une retenue, en publique. Il a souri puis m’a confirmé, qu’en effet, leur société était patriarcale et que les femmes devaient attendre l’approbation du mari et, de ce fait, être discrète en tout temps. Bien sûr s’en suivi une discussion sur nos différences, ici, bien sûr, pas pareil, blablabla. Tout en lui servant un thé, pendant que mon chum restait assis. Ça m’a pris quelques minutes pour réaliser l’ironie de la scène. Je crois que c’est lorsqu’il m’a demandé du sucre d’une façon poli mais ferme, que je réalisai la chose.

    Je suis la fille d’une femme qui a suivi et servi son mari puis s’émancipa du mieux qu’elle put en n’y croyant pas vraiment, élevée par une femme dont le mari était roi et maître. Les chats ça ne fait pas des chiens. De toute façon, je constate chez mes étudiantes les mêmes patterns. La plupart viennent de familles très représentatives de la classe moyenne au Québec et je n’ai pas remarqué de grand bouleversement: le gars est indépendant, la fille attend, la fille pleure.

    Je te raconte ça et pourtant, dans mon milieu, je suis identifiée comme étant une féministe.

    Là également, je vois un retour du balancier. Re-soupir!

    Ça n’avance pas vite la société. Un vrai chachacha.

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