C'est pourtant clair.
Un gars qui vient de tuer ses jeunes enfants et qui refuse de se faire traiter pour comprendre comment il a pu faire ça, est malade. Il doit être mit en retrait. C'est une bombe.
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Les mots pour le dire. La vérité, juste la vérité. C'est pas moi, c'est lui. Y'a pas de mal à s'faire du bien. C'est bien pour dire. Faut ce qu'il faut. On n'exclut pas la personne qui parle.
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Il y a bien trois décennies de ça, dans un moment de colère, j'ai prononcé des paroles blessantes envers quelqu'un que j'aimais. Bin aujourd'hui encore, j'ai toujours des remords quand j'y pense.
RépondreSupprimerAlors lui, après trois ans pis ce qu'il a fait...
Yves
Non mais... Je ne suis pas la seule à voir que ça n'a pas de maudit bon sens que ce gars là ressorte. Il prétend pouvoir vivre une vie normale, être prêt à refaire sa vie, à avoir des enfants... Sa sortie serait catastrophique. Pour la foi en la justice (ce qu'il en reste), pour le précédent que cela créerait...
RépondreSupprimerRouth Tu Tu, la boucane te sort par le nez (après les ti surplus!);-)
RépondreSupprimerYves (serieux: t'as raison!)
Assez pour garnir un sandwich au jambon. Hyou!Yark!
RépondreSupprimerMais t'aurais dû me voir dimanche soir devant la ministre Beauchemin a TLMEP. J'voulais lui pitcher ma tasse de thé a chaque fois que je l'entendais dire la ''bonification des subventions aux universités au lieu de la hausse des frais.'' Elle détournait comme une vraie politichienne.
Perso, deux mots "langue de bois" qui me font toujours monter dans les rideaux, omniprésents dans la bouche des technocrates : "Bonifier" et "gérer"...
RépondreSupprimerYves (pucapab!);-)
J'avais tu lu moutarde moi là? Semble bien que oui.
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