Un oiseau, une nouvelle et un souhait.


Je réagis au poste de http://profougoeland.blogspot.ca/2012/10/financement-du-prive-ou-la-faute-des.html  tant qu'aux propos de madame Malavoy en ce qui a trait à l’investissement du gouvernement dans le privé.   La réflexion de Profetgoéland face aux impacts probables sur les milieux : l’incapacité de la classe moyenne d’envoyer ses enfant dans des établissements qui offrent un bon suivi; le retour de tous ces jeunes dans des classes bondées et hétéroclites… sont de bons arguments pour tous ceux qui croient comme lui, comme moi, qu’il faille d’abord, regarder la chose sur toutes ses facettes.  
Pour ma part, je suis pour une école publique qui peut offrir des alternatives.   Je crois qu’on devrait redonner du pouvoir aux personnes qui y travaillent et qui connaissent leur clientèle.  Je suis assez fan de la pensée de Schumacher qui met en doute la productivité des grosses machines impersonnelles et qui croit en l’efficacité des gens dans leur milieu.  Les écoles à vocations telles que Face en musique, St-Louis en théâtre, par exemple, offrent aux montréalais une éducation hors-pair   Ces écoles sont le fruit de la réflexion des professionnels qui y œuvrent.  Ça fonctionne.   La commission scolaire Marie-Victorin souhaite prendre cette route.  Mais elle n’a pas compris que ce sont les enseignants, leur direction ouverte qui réussiront parce qu’ils le veulent et non parce que cela leur est imposé.   La seule vrai collaboration ne s’obtient que volontairement.   Il faut que le système parte de la base, il faut qu’on lui refasse confiance, qu'on lui redonne ses pouvoirs. 
Ce n’est pas normal qu’on soit, chez nous en tout cas, en attente de nos retraites et de moins en moins sincèrement impliqués.   Je le répète, la vrai collaboration ne s’obtient que volontairement. 
 
 


PS: Mon intention était d'abord, de répondre directement sur son blogue mais pour je ne sais pour quelle raison, je ne peux le publier.  L’accès m’est refusé!?!
 


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